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Thématiques et Sessions > Th1. Géosciences et numériqueTh1. GEOSCIENCES ET NUMERIQUE S1.1. Affleurements numériques: nouvelles méthodes d'analyse des affleurements sédimentaires Coordination: Aurélien Bordenave, Raphaël Bourillot, Emmanuel Dujoncquoy, Sophie Leleu, Benoit Issautier La session « Affleurements numériques : nouvelles méthodes d’analyse des affleurements sédimentaires » a pour objectif de réunir les nouvelles recherches qui reposent sur l’acquisition, la visualisation et l’interprétation des affleurements numériques dans le but de les analyser d’un point de vue sédimentaire aussi bien en 2D qu'en 3D. Les nouvelles technologies d’acquisition (aéroporté, tracté, trépieds ou drone) permettent l’acquisition d'une diversité importante de nouvelles données : photogrammétriques, lidar, radar, hyperspectrales, magnétiques ou électromagnétiques. Ces dernières sont d'une aide fondamentale à la caractérisation, à haute résolution, de l'architecture des systèmes sédimentaires. Elles permettent notamment d'accéder à un panel important d'informations (lithologies, fracturation, paléocourant, architecture des corps sédimentaires…), par le biais de méthodes qualitative, quantitatives, semi-automatiques, automatiques voire novatrices telles que l’intelligence artificielle. Par ailleurs, de nouvelles technologies de visualisation comme la réalité virtuelle ou la réalité augmentée offrent de nouvelles capacités d’observations, non accessible sur le terrain (vue d’oiseau rapprochée, accessibilité à une falaise littorale, surimposition d’informations à l’échelle 1 :1). Ainsi, l’ensemble de ces approches couplé à une approche naturaliste de terrain permet de proposer des modèles géologiques représentant l'architecture des systèmes sédimentaires: (i) sous le forme actuelle (modélisation 3D) ou (ii) sous un format évolutif en fonction du temps (modélisation 4D). S1.2. Les SIG contribuent aux recherches conduites en géosciences Coordination: Vincent Hanquiez, Nina Tanguy, Mathilde Pitel-Roudaut Utilisés de façon ponctuelle au début des années 2000, les Systèmes d’Information Géographique (SIG) permettent de collecter, organiser, gérer, analyser, partager et représenter les données géographiques. Ils se sont depuis démocratisés dans le domaine des géosciences où ils sont devenus un outil incontournable et pertinent, notamment par le fort potentiel des analyses spatiales, le croisement des données transdisciplinaires et l’approche cartographique. A chacune de ces étapes, la qualité de la donnée géographique reste essentielle pour répondre aux besoins d’interprétation scientifique. Cette session, à vocation technique et scientifique, se veut un lieu d’échange et de confrontation des pratiques issues de l’utilisation des SIG en géosciences. |
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